Je sais peu de choses sur l'aïeul le plus lointain que j'ai trouvé :

Pol Hubert LEDOUX, né à Avesne, dans le Nord Pas de Calais en 1734.

Il arive à Paris avec ses parents à l'âge de 11 ans.

Il épousera Louise BRUNOT.

Parmi les enfants qu'ils auront (???), il faut distinguer Jean Pierre Marcel.

Il se marie le 2 juillet 1798 à Paris, avec Marie Thérèse Françoise BOIS, née vers 1778.

Et cette histoire commence ainsi :

A Paris, dans le foyer de Jean Pierre Marcel Ledoux et de son épouse Marie Thérèse Françoise Bois, en 1808, naquit un petit garçon à qui on donna les prénoms de Pierre François. C'était le troisième enfant, après Marie Thérèse qui avait 12 ans et Genevève, 2ans et demie. Alors qu'il avait 3 ans, son père mourut ; La famille quitta le 4e arrondissement où elle logeait pour s'installer rue de la Harpe au n°6 ; Pierre François grandit et trouva un travail comme commissionnaire en librairie.

Il a alors 20 ans lorqu'il rencontre une jeune fille, de 5 ans plus âgée que lui, Eléonore Huvin. Elle est cartonnière, est née 25 ans plus tôt à la Chapelle St Denis à Paris. Ils fondent un foyer et très vite, une petite fille voit le jour :Marie ; Ils habitent alors rue de la grande Friperie ; Marie est baptisée à l'église st Sulpice, à Paris.

Pierre François s'engage auprès de l'Armée d'Afrique créée par Charles X et participe à l'expédition de 1830 pour la prise d'Algérie. Il débarque à Sidi Ferruch avec les troupes; l'expédition durera 2 ans au terme desquels il revient à Paris retrouver sa famille. Mais il garde en lui les images d'une Algérie à construire, belle, pleine de promesse..

Sa vie reprend à Paris, difficile.

Mais lorsque Marie atteint ses 15 ans, sa mère Eléonore décède ; Elle est inhumée le lendemain 10 septembre 1843 au cimetière Sud de Paris.

Mais Pierre François n'est pas un veuf inconsolable. Il a gardé quelque part dans son coeur la nostalgie de l'Algérie et décidé qu'il y retournerait lorsque l'occasion se présenterait, et justement, il est beaucoup question d'aller coloniser l'Algérie, et cela lui convient.

Il a rencontré une charmante lingère, Marie Louise Bénétot qui est partie de sa Côte d'Or natale, de Saint Seine de l'Abbaye, pour monter à Paris ; Elle vit chez son frère Jean Baptiste, géomètre comme son père, et qui demeure rue Aubry le Boucher, au n° 45 à Paris. Elle n'a que 18 ans, alors que Pierre François en a le double. Moins de 7 mois après la mort de Eléonore, il convole en juste noce avec elle.

Ils s'unissent à Paris, dans le 11e arrondissement le 30 mars 1844.

Une petite fille voit le jour à Paris, le 10 juillet 1845 ; elle se prénomme Marie, Louise, Rosalie. Puis vient Léontine, Stéphanie, 2 ans plus tard toujours à Paris.

Mais il ne fait pas bon vivre à Paris à cette époque, et pour cause : après la fermeture des ateliers nationaux, le chômage sévit. La Constitution de 1848 déclara l'Algérie territoire français.

Un appel fut lancé pour trouver des personnes désirant émigrer en Algérie. On leur promit une concession de terres à cultiver, et des aides pour bien commencer leur travail d'agriculteur.

 

 

Extrait du site http://perso.wanadoo.fr/alger-roi.net/alger/villages/castiglione/textes/castiglione_pn39.htm

si l'extrait vous intéresse, cliquez sur ce bouton.

 

Ces convois ont fasciné des centaines de généalogistes.. Nous avons tous rêvé de descendre d'une de ces familles, qui, un beau matin d'octobre, novembre ou décembre 1848, est montée dans une péniche amarrée au quai Saint Martin.. La famille Ledoux faisait partie du 4e convoi qui partit de Paris le 22 octobre 1848, arriva à Marseille 13 jours plus tard.

Là ils embarquèrent sur le Montezuma, encadrés par l'officier Durrieu, avec les 843 autres futurs colons et leurs familles pour Tefeschoun, Castiglione ou El Affroun. Ils arrivèrent le 9 novembre 1848 à Castiglione, puis se rendirent à Tefeschoun, où les attendait une concession. Le village de Tefeschoun a été crée pour accueillir ces colons venus de Paris et d'autres villes de France par le 4e convoi.

Extrait du site http://aj.garcia.free.fr/site_hist_colo/livre3/L3p281.htm

COLONISATION EXTRAORDINAIRE. LES COLONIES AGRICOLES

si l'extrait vous intéresse, cliquez sur ce bouton

Pierre François obtient sa concession le 16 novembre 1848 à Tefeschoun.

Le 18 mars 1853 il obtient son titre de concession définitive ; Il devient propriétaire de :

- 1 lot urbain n° 19 de 6 ares, pour y construire sa maison

- 1 lot de vignes n° 41 de 24 ares

- 1 lot de jardin n° 9 de 23 ares et 70 centiares

- 1 lot de prairie n° 55 de 2 ha 8 ares et 90 centiares

- 8 lots de terres de grande culture n° 66, 67, et 247 à 252 de 8 ha et 3 a 50 ca.

Il sait qu'il ne peut aliéner cette terre, du moins pas avant le 1er janvier 1855, car il risquerait de devoir rembourser à l'état une somme de 3 457 francs, montant des dépenses faites pour son installation

Le village de Tefeschoun se compose alors de 64 familles. Le 30 juillet 1849, à Koleah, le petit Napoléon César voit le jour. Si on fait un calcul rapide, il semblerait qu'il ait été conçu sur le Montezuma, ou tout de suite après l'arrivée de ses parents en Algérie. C'est le premier enfant naît sur la terre d'Algérie. Sa sœur Marie Louise Rosalie a déjà 4 ans, et sa sœur Léontine Stéphanie a 3 ans, toutes deux nées à Paris. Le 19 mars 1856 naît la troisième petite fille, Alice Clara, toujours à Tefeschoun.

La vie se passe normalement ; Pierre François cultive sa terre, et Marie Louise s'occupe des enfants et de la maison. " Les colons de 1848 furent très éprouvés par les fièvres paludéennes, par la dysenterie, par les épidémies de choléra de 1849 et de 1850; les récoltes des premières années furent fort mauvaises. Ils firent preuve de beaucoup d'endurance et c'est merveille, vu les conditions et les circonstances de la tentative, que l'échec n'ait pas été plus complet. "

Les enfants grandissent, la terre est très difficile à cultiver pour un Parisien ; on ne s'improvise pas agriculteur. Pierre François est obligé de vendre sa ferme, et pour subvenir aux besoins de sa famille il fait office de garde-champêtre. En 1859, Léontine Stéphanie meurt. Elle est arrivée à Téfeschoun à l'âge de 2 ans, partie de Paris dans un de ce fameux convois de 1848. Elle a résisté aux difficultés de ce voyage, mais le destin l'attendait en Algérie.

La vie continue malgré toutes les épreuves.

Napoléon César a 18 ans lorsqu'il rencontre Marie Euphroisine Chatain qui habite Fouka, un village voisin. Ils se marient le 4 décembre 1868 à Fouka juste à temps pour voir Marie Emilie, leur premier enfant naître le 30 décembre de cette année là. Puis le 20 décembre 1870, Clément Emile voit le jour à Castiglione, le 24 avril 1874 Pierre Edouard fait son entrée, et le 27 janvier 1877, c'est au tour de Eugène.

La nouvelle famille vit à Aïn Azouz à la ferme de Fouka depuis 1875, et Napoléon y travaille comme fermier, en attendant de posséder une terre et de pouvoir la cultiver. Il a habité successivement Koleah, Tefeschoun et Castiglione. C'est un cultivateur expérimenté. Il n'a pas eu à faire son service militaire, car il est chargé de famille. Il travaille pour d'autres colons comme métayer.

Dès 1875, un projet de lotissement des terres du village de Aomar a été établi. Le 6 avril 1877, il fait sa demande pour une attribution de terre au centre en voie de création dit le Nador, entre Tipaza et Marengo, sur le territoire d'Aomar. Il a alors 28 ans et a 4 enfants ( Eugéne, 2 mois, Pierre Edouard 3 ans, Clément Emile 7 ans et Marie Emilie, 9 ans ). Les points forts qui vont lui permettrent d'obtenir cette concession, sont les suivantes : il est marié avec 4 enfants, c'est un cultivateur expérimenté, d'excellente moralité, très laborieux, il est né en Algérie. En outre,il possède un cheptel, des instruments aratoires et des espèces, le tout pour 3 000 Francs. Ses parents sont âgés et vivent difficilement, et il se doit de les aider.

L'attribution des terres se fait par tirage au sort, après agrément du Préfet d'Alger. Le 15 décembre 1877, le Sous Préfet de Tizi Ouzou l'informe que les lots suivants lui sont attribués par tirage au sort:

- lot urbain n° 5 et les lots ruraux n° 66 et 34 dans la commune de Aomar arrondissement de Tizi Ouzou.

Description des lots d'après le procés verbal du 9 janvier 1878 :

- le lot urbain n° 5 se trouve limité au nord par le lot n° 4, à l'est par les terrains réservés pour les plantations, et à l'ouest par une rue.

- le lot rural n° 34 se trouve entre au nord le Trek Ouled et ----, à l'est par les lots n° 29.40 et le chabet Oum el Diab au sud par les lot n° 39 et à l'ouest par le lot n° 35.

- le lot n° 66 se trouve limité au nord par un ravin, à l'est par le Tak Béni Khalfoun, au sud par le lot n° 67 et à l'ouest par un ravin.

Il doit s'engager à résider sur ses terres avec sa famille dans les 6 mois qui suivent. Il deviendra propriétaire de ses terres, à titre définitif à l'expiration de la 3ème année de résidence, moyennant l'exécution de certains travaux.

Le 11 février 1878, il n'a pas pu se libérer de ses obligations envers son ex employeur, et il demande un sursis jusqu'en juillet avant de s'installer sur ses terres. Ce sursis lui est refusé : il doit s'installer au plus tard le 1er mai 1878.

Heureusement, il parvient à se libérer de son ancien emploi et il peut occuper ses terres le 2 avril de cette même année. Il construit une baraque en planche ( dite gourbi ) pour abriter sa famille, et recouvre les côtés et le toit de diss .

La vie s'installe, Napoléon César cultive ses terres, pendant que Marie Euphroisine s'occupe de la maison, des enfants, et pour arrondir les fins de mois, elle fait office de blanchisseuse. Mais le 21 août 1878, le petit Eugène décède. Il a 19 mois.

Un autre malheur attend la famille : en effet, dans la nuit du 11 au 12 février 1879, le feu de la cheminée se propage, du fait d'un vent violent, au toit et au reste de la maison. Dans l'affolement, la famille sort en chemise, mais un enfant est resté à l'intérieur, que dans l'affolement on avait oublié; heureusement, on réussit à le sortir indemne. La perte est très grande ; En effet, Napoléon revenait d'Alger dix jours auparavant, ayant ramené des provisions pour deux mois. La maison est complètement brûlée, avec les meubles, le linge et autres affaires. En outre, Marie est blanchisseuse, et le linge appartenant à 3 colons a également brûlé. Quelle catastrophe ! Un inventaire des biens a été dressé, et hors linge des 3 colons, la perte s'élève à 712.70 francs.

Lettre décrivant l'incendie et la description de tout ce qui a été perdu dans l'incendie..

( pour revenir à cette page, cliquez sur n'importe quel endroit de la lettre)

 

Le 31 décembre 1878 une somme de 200 francs est allouée à la famille par le préfet, afin de les aider à refaire surface. Ce n'est que le 19 mars 1879, que la somme est versée à Napoléon et sa famille. Mais cela est peu en rapport avec la perte subie. Il faudrait emprunter pour tout reconstruire, mais pour cela il faut avoir un titre de concession attributif de propriété. Le titre de propriété définitif ne pourra être réclamé qu'après 3 ans, c'est à dire à partir de 1881. La maison est rebâtie partiellement, seuls les murs extérieurs sont debout. La récolte a suffit tout juste à nourrir la famille, mais n'a pas suffit pour racheter les bois et autres matériaux.

Le titre de concession est signé le 8 août 1879 : c'est un titre de concession gratuite. La vie reprend, et enfin le 26 décembre 1881, le titre définitif de propriété est accordé à la famille. Napoléon César peut alors hypothéquer ses terres, faire un emprunt pour améliorer le quotidien. En 1882, les autorités veulent agrandir les lots. En effet, sur les 26 familles installées à la création de ce territoire, 10 d'entre elles sont parties après avoir vendu leur droit au bail. Il ne reste plus que 16 familles. Ces familles, pour pouvoir survivre doivent louer presque toute la surface de leurs terres à des indigènes, moyennant espèces ou le 1/3, le ¼, ou le 1/5 de la récolte.

Les enfants des colons installés ne peuvent vivre sur ces terres, et sont obligés de chercher dans d'autres communes le travail qui fera vivre leur famille. Le réseau ferroviaire est en construction, et une gare dessert Aomar, ce qui peut être favorable pour le commerce. Dans ce projet, les enfants des colons auront une moyenne de 6 ha : - 1 lot à bâtir - 1 lot de jardin - 1 lot de vignes - 1 lot de culture Ce projet fut abandonné et remplacé par une dotation d'un lot de jardin aux 1ers colons.

Le 9 septembre 1889, un lot supplémentaire de jardin n° 77 de 21.50 ares lui est attribué à titre gratuit, qui se transformera en titre définitif de propriété le 9 septembre 1889. Ses 2 fils travaillent avec lui. Les enfants grandissent, et peu à peu ils se marient et quittent la maison. C'est d'abord Pierre Edouard qui rencontre Marie Pujol ; Ils se marient en 1900, Puis Clément Emile rencontre un jour, chez son ami Albert Bellegarde, la petite sœur de ce dernier, Thérèse Augusta venue rejoindre son frère. C'est le coup de foudre, et ils se marient le 5 août 1905 à Beni Amran.

Thérèse BELLEGARDE est née le 7 mars 1886 à Pont St Esprit. Elle est la fille de Joseph BELLEGARDE et Joséphine Madeleine FOURNIER. Son père est aubergiste, rue Bas Mazeau à Pont St Esprit. Elle a 2 sœurs et 1 frère : - Augustine l'aînée, - Albert né le 2 mars 1880 à Béziers - Germaine Albertine née vers 1894.

Clément Emile LEDOUX est né le 20 décembre 1870 à Castiglione Il habite Aomar, commune mixte de Dra El Mizan avec ses parents, Napoléon César et Marie Euphroisine CHATAIN. Lorsqu'il rencontre Thérèse Augusta BELLEGARDE, celle-ci a 19 ans, et lui en a 35. Ils auront 4 enfants : - Robert Albert, le 29 octobre 1906 à Beni Amran (Commune mixte de Palestro) - Emilienne, le 29 juillet 1908 à Aomar - Odette le 19 janvier 1910 à Taine ( commune mixte de Teniet El Had ) - Armand le 4 mai 1912, à Béni Amran.

A Béni Amran Emile était colon : il a d'abord eu une ferme qu'il a transformé en usine à crin à TAINE puis en usine à alfa ( on en faisait des matelas d'enfants par exemple)

Description des champs d'alfa :

" A perte de vue, des espaces plats ou à peine vallonnés s'étendent devant nous, couverts d'une herbe verte au printemps, grisâtre en été, qui ondule sans arrêt sous les rafales de vent. On dirait d'une mer agitée par la brise : c'est la mer d'alfa. " L'alfa est une graminée vivace. La feuille contient une fibre très fine et très résistante. Elle se détache facilement de la souche et il suffit d'une traction très légère pour l'en séparer. Elle sert à la fabrication de nattes, de chapeaux, de sandales, d'escourtins, de couffins et d'objets divers de vannerie et de sparterie, de crin d'alfa utilisé comme succédané du crin animal. Son emploi le plus répandu est la fabrication de pâte à papier; c'est cette industrie qui fait la véritable valeur de l'alfa d'Algérie. Le papier d'alfa est souple; soyeux, résistant; très léger, très bouffant, il prend bien les caractères d'imprimerie. Mélangée en proportions variables avec les pâtes de chiffons, de paille ou de bois, la pâte d'alfa peut donner lieu à des milliers de combinaisons d'une grande valeur et d'une excellente qualité. Pour le crin,il faut aller dans le Tell. C'est là que nous trouverons exploité, par une importante industrie, le palmier-nain, matière première du crin végétal.

Vers 1914, CLEMENT meurt d'une insolation : la veille il avait fait la sieste sous un arbre ; le lendemain il entrait à l'hôpital de Ménerville avec une forte fièvre, et là il mourrut : mais en fait, insolation , typhus ?, on ne sait pas, car il a été enterré la nuit.

Après la mort de son mari, Thérèse doit travailler pour élever ses 4 enfants ; Elle va exercer le métier d'écrivain public dans un café maure. Elle fait également un peu de comptabilité et tous les soirs, avec Robert, son fils aîné, elle va allumer les réverbères : Robert lui tient l'échelle pendant qu'elle monte allumer les becs de gaz. Puis, elle se remarie 4 ans plus tard avec Auguste BARBE ( qui avait 10 ans de moins qu'elle ) et avec qui elle part vivre à ALGER : naissance de Louis BARBE ( Loulou ) en 1919.

Thérèse Augusta meurt d'une pleurésie le 22 octobre 1925 à Beni Amran. Après sa mort, Auguste Barbé s'est remarié 2 fois encore. Thérèse a été enterrée d'abord à Beni Amran, mais lorsque son frère Albert est parti pour Thiers, il a fait déterré tous les membres de sa famille pour les transporter à Thiers.

Aprés la mort de Thérèse, c'est Albert qui s'occupe des enfants de sa sœur en plus des siens : il avait 5 enfants à lui, en plus de ses beaux parents, et de sa sœur aînée Augustine venue aussi avec ses 4 enfants. Tous les matins il se mettait à la fenêtre pour voir partir son petit monde : c'étaient des jours heureux.

L'oncle Albert est chef cantonnier. C'est un écologiste de première heure : en effet, il fait pousser ses légumes pour nourrir son monde, sa femme fait le pain dans un four qu'il a lui même monté.

Mais il ne peut pas nourrir tous ces enfants, et il a été décidé que Odette partirait chez son oncle du Maroc ; Son oncle était fondé de pouvoir de la banque du Maroc ; il était très gentil et très simple, mais sa femme qui était en fait la sœur du père de Loulou ( donc la soeur du 2e mari de sa mère ) était assez hautaine, et considérait Odette comme une intruse.

Robert et Armand sont restés chez leur oncle Albert, tandis que Emilienne, l'aînée des filles est allée travailler et s'est mariée un an plus tard.

 

clic pour remonter

 

fiche de Napoléon César Ledoux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

clic pour agrandirpour la voir en réel cliquez dessus